Cercle de Pardon

 

 

 

 

 

 

 

Prochains Cercles :

 

 de 14h à 17h30

 

 Jeudi 16 mai à Vezins (49) de 18h30 à 21h

Dimanche 26 Mai à Rezé (44)

Samedi 22 juin : grand cercle de Pardon sur la plage - Evènement gratuit

 Plage de Saint Jean de Monts

 

Informations en bas de page

 

Vendredi 5 Juillet à Genneton (79)  18h - 21h

Suivi d'un cercle de Tambour

 

 

 

Le pardon est un acte d’amour envers soi même, c’est guérir son coeur pour s’ouvrir à l’amour.

 

Suite à sa rencontre avec Don Miguel Ruiz (Les Accords Toltèques) en 1999, Olivier Clerc est à l’origine des Cercles de Pardon, du Don du Pardon et du protocole qui en découle.

 

Un cercle de Pardon est un rituel de 3 h qui se fait en groupe et...en cercle !

 

Un cercle représente l'évolution comme un processus de transformation de la mort à la naissance, de la fin et au commencement, car un cercle n'a ni commencement ni fin. En ce sens, un cercle représente l'éternité mais également notre réalité en mouvement. Il symbolise la vitalité, la plénitude, l'achèvement et la perfection et je rajouterai aisément la libération en ce qui concerne ce rituel.

 

Lors d’un cercle de Pardon, il ne s’agit pas de pardonner mais de se pardonner.

 

C’est un acte très concret, éminemment personnel et transpersonnel ( la dimension transpersonnelle va au delà des personnes réellement présentes lors du cercle) à la fois, vous renvoie à votre propre humanité et à celle de chaque personne en face de vous, qui ne formez ensemble qu’une seule et même humanité.

 

La libération émotionnelle et physique tient du fait de DEMANDER PARDON, se laisser traverser par ce pardon pour pardonner à son tour, la fluidité du “ donner et recevoir” agit comme une clé.

 

Ce renversement paradoxal de posture, qu’il faut vivre soi même pour en mesurer la puissance et la simplicité, libère quelque chose de bloqué en nous, il court- circuite les obstacles mentaux au pardon d’une manière très surprenante.

 

Demander Pardon libère d’un immense fardeau de rancunes, d’amertume, de colère refoulée voire de haine accumulée pendant des années.

 

L’armure construite par des sentiments négatifs réduit considérablement la capacité à s’aimer et à aimer.

 

Les souffrances, les humiliations, les agressions verbales ou physiques sont des plaies ouvertes que nous portons, au fil de notre vie, parfois depuis notre enfance et pour la plupart non guéries jusqu’à ce jour.

 

Il existe un lien direct entre jugement et pardon.

 

Nos vies se définissent selon les perceptions que nous avons des choses, des gens et des événements. Chaque jugement que nous portons est directement en lien avec ce que nous croyons, il a un pouvoir amplificateur. Si nous jugeons une situation comme étant dramatique, ce jugement renforce le drame et l’émotion désagréable qui l’accompagne. Si nous demeurons sans jugement ferme devant cette même situation, elle devient neutre et sans effet sur nous. Nos jugements sont donc déterminés par nos perceptions et nos croyances.

Nos jugements sont des façons de nous emprisonner dans des fausses perceptions.

Les choses ont la valeur qu’on leur donne. Elles existent parce que nous leur accordons une puissance et une valeur.

 

Il est donc important de poser un regard de détachement bienveillant sur les autres, sur les situations et sur soi-même… Et cela commence par se pardonner !

 

Guérir le coeur ne suffit pas si le mental continue d’entretenir les jugements.

 

(Nos pensées deviennent nos croyances, nos croyances deviennent notre réalité )

 

Nous devenons souvent nos pires bourreaux à notre insu, à la suite du mal que nous avons réellement subi, notre coeur et notre mental inconscients et non éclairés nous enferment dans une spirale imaginaire, tissée de nos propres pensées ne font que les intensifier, les aggraver et les faire perdurer.

 

Il est important de découpler le coeur et le mental, laisser le coeur éprouver et traverser toutes les émotions que peuvent provoquer des situations inattendues, conflictuelles ou violentes, tout en suspendant son jugement ; c’est à dire suspendre son interprétation sur le moment, sa compréhension intellectuelle des évènements.

 

Très souvent, ce n’est pas tant ce qui est arrivé qui empêche de faire œuvre de Pardon mais plutôt ce que son coeur et son mental ont fait de cette situation.

 

Nous ne pouvons changer les faits : ce qui est arrivé est arrivé. De même, on peut difficilement modifier les émotions que ces faits déclenchent en nous. Notre plus grande marge de liberté et d’action réside à apprendre, à voir une même situation sous plusieurs angles différents, chercher de possibles conséquences en cohérence avec notre coeur.

 

Je ne laisse pas mon mental être submergé et asservir mes émotions.

 

Cela permet d’acquérir des capacités étonnantes d’autodéfense contre ses propres mécanismes inconscients, qui constituent bien souvent des freins majeurs non seulement au pardon mais au bonheur.

 

Si les faits dictent mes émotions et si mes émotions déterminent ensuite ma façon de penser et de comprendre la situation, où se trouve ma liberté ? Tout est alors automatique, mécanique et inconscient. Or, pardonner, c’est justement retrouver la liberté d’aimer. La conquête de cette liberté passe par la prise de conscience de son propre fonctionnement.

 

Comment puis-je demander pardon quand c’est moi qui ai été victime d’autrui ?

 

Reprenons notre responsabilité et à se restituer la pleine liberté de ses sentiments et de ses pensées. Je ne suis pas libre tant que je dépend de ce que quelqu’un d’autre pense, ressent, dit ou fait...ou non !

 

La véritable liberté intérieure ne consiste pas à contrôler les actes ou les propos mais à être capable de choisir délibérément et consciemment comment je réagis à ce qui m’arrive.

 

Comment je réagis à une insulte, un conflit, une violence, une injustice, une trahison ?

 

Ma guérison ne dépend pas de ce que l’autre dit / ne dit pas, fait / ne fait pas : elle dépend de moi.

 

Le pardon: c’est l’ultime forme de LIBERTE , je prive l’autre du pouvoir qu’il/elle pensait détenir sur moi. Je me croyais victime, impuissante de l’autre (ou d’une situation) alors qu’en réalité j’avais un pouvoir que je ne discernais pas. Aussi longtemps que je n’arrive pas à pardonner, je donne tout pouvoir sur cette situation ou cette personne et prolonge durablement le mal impacté.

 

Se demander pardon, non pour le mal impacté mais pour la situation d’avoir eu si mal. Se demander pardon ; c’est avec soi même qu’on fait la paix.

 

De manière automatique et inconsciente ou plutôt choisie et délibérée ?

 

Entre le moment de l’action et le moment de la réaction se créer un espace temps où je peux choisir ma posture, c’est ma liberté, un acte de lâcher prise par lequel on se libère de l’illusion que ce qui nous fait du mal a tout pouvoir sur notre état intérieur, sur l’amour ou la haine, la joie ou le ressentiment qui nous habitent.

Cet espace temps nous laisse le choix soit de réagir automatiquement ce qui entraîne sur le champ une émotion qui devient un poison en se distillant dans notre corps et contrôlant notre psyché ou nous pouvons très bien aussi maîtriser ses réactions en choisissant le non agir (pas d’intervention, pas de résistance) par amour pour soi.

 

En faisant appel à la réflexion, il s’agit d’apprendre à dépasser la seule dimension personnelle des actes / des mots...à notre encontre.

 

Les accords Toltèques de Don Miguel Ruiz : « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle »

 

L’autre ne me voyant pas vraiment comme je suis, lorsqu’il m’agresse verbalement ou physiquement, ce n’est pas forcément juste moi à qu’il/elle s’en prend mais tout ce que je représente à ces yeux à ce moment là, que cette personne en ait conscience ou non.

 

Ne pas en faire une affaire personnelle signifie : laisser les choses circuler à travers moi, ne pas les garder, ne pas les retenir.

 

Ce qui m’affecte, ce qui me traverse concerne bien plus que ma personne, aussi douloureux que cela puisse être parfois. Cette prise de conscience à développer et à cultiver, sans pour autant minimiser ni supprimer les souffrances encourues peut indiscutablement m’en donner une compréhension beaucoup plus profonde, qui elle même ouvrira de nouvelles voies pour accéder au Pardon.

 

L’intérêt de nous pardonner nous libère du pouvoir que nous avons donné à d’autres de dicter notre état intérieur.

 

On ne demande pas pardon pour ce que l’autre personne nous a fait, bien entendu, car elle seule en porte la responsabilité.

 

On demande pardon pour sa propre haine, colère, rancune, pour la façon dont on a peut être utilisé(e) les torts de l’autre pour avoir alimenter, parfois trop longtemps, notre ressentiment et d’avoir empêché ainsi nos plaies cicatrisées.

 

On demande pardon pour se libérer soi même, pour reprendre son pouvoir, sa liberté, sa part de responsabilité en abandonnant les jugements.

 

Nous avons tous ce pouvoir d’agir sur nous même.

 

Autrement dit, face aux évènements douloureux de notre existence, nous pouvons choisir d’en distiller les leçons; la quintessence.

 

Cette leçon apprise s’applique à d’autres analogues, s’en remémorant nous rend maître d’un évènement dans notre posture.

 

Pardonner :

ce n’est pas cautionner

ce n’est pas forcément se réconcilier

ce n’est pas oublier

c’est peut être faire une action en justice

c’est se respecter

c’est s’aimer d’avantage

c’est s’apporter la paix

 

Il y a un temps pour tout, un temps pour accepter la situation, pour accueillir ses émotions, un temps pour pardonner. Un temps, si nécessaire pour porter plainte et demander réparation.

 

Ces temps ne sont pas les mêmes pour chacun de nous ; donc apprendre à s’écouter, se respecter...à son rythme

 

Au lieu de se demander : « Puis je pardonner ? », plutôt se demander : « puis je guérir ? »

 

Quelles que soient les blessures que mon coeur a subies, je peux les soigner.

 

Le pardon n’est pas un devoir : c’est une grâce que l’on s’ouvre à recevoir, lorsqu’on est prêt(e).

 

Il n’ y aura de monde vraiment meilleur qu’avec un coeur guéri, libéré de ses vieilles blessures et souffrances qui teintent et déforment toutes nos relations.

 

C’est parce que j’ai connu la haine, la colère et la tristesse agissant en moi comme du poison que j’ai entamé le processus du pardon. J’ai compris que c’était moi seule qui nourrissait ce poison.

 

Lors de mon premier cercle, j’étais en souffrance et il m’a fallu du temps pour que les mots sortent de ma bouche, des mots très simples, à priori, mais prononcés au sein du cercle, ces mots prennent tous leurs places.

Et puis, je me suis surprise à entendre mes mots : Je te demande pardon, j’ai continué à me positionner devant chaque personne et réciter ces mêmes mots.

C’est à la fin du cercle que j’en ai mesuré toute sa puissance, et en conscience, j’entamais la guérison de mon coeur.

 

Depuis, j’ai participé à plusieurs cercles de pardon jusqu’au moment ou l’évidence de les animer est venu à moi avec ce désir de faire connaitre ce processus de guérison, l’ouverture du cœur amène une autre compréhension de la vie et que chacun d’entre nous y trouve la paix.

 

Une expérience enrichissante, transformatrice, libératrice.

 

Je peux me déplacer pour organiser ces cercles, vous pouvez former un groupe, me proposer un lieux, une date

Me contacter pour toute proposition

 

Prochains cercles : de 14h à 17 h

 

 

 

 

 Jeudi 16 mai à Vezins (49) de 18h30 à 21h

Dimanche 26 mai à Rezé (44)

Samedi 22 juin : cercle sur la plage

Plage de Saint Jean de Monts

Vendredi 5 juillet à Genneton (79) : 18h - 21h

Suivi d'un cercle de tambour

 

Inscription nécessaire : Marie-Laure Léger 06.23.20.02.00

ou guerisseusequantique@gmail.com

 

Au plaisir de se rencontrer, se libérer, s'aimer...

 

Participation financière : 30 euros / pers

Si difficulté, participation libre et en conscience

 Merci d'apporter soit une boisson, du sucré ou du salé

Nous finirons par une collation ensemble avant de clôturer le cercle

 

 

A lire : Le Don du Pardon – Olivier Clerc

 

Peux t’on tout pardonner ? - Olivier Clerc

 

La Maîtrise de la vie - Don Miguel Ruiz

 

Les accords Toltèques – Don Miguel Ruiz

 

www.cercledepardon.fr

 

www.olivierclerc.com

 

don-miguel-ruiz-les-quatre-accords-tolteques.pdf

 

 

C’est avec une grande joie que je vous propose un cercle de Pardon le samedi 22 juin sur la plage de La Parée du Jonc

 à Saint Jean de Monts.

L’heure sera à définir selon les horaires de la marée

 

Nous sommes composés à 70 % d’eau, tout comme la Terre est constituée de 70 % d’eau.

L’eau n’est pas uniquement symbole de la vie, elle est la vie, la substance de toutes créations

l’eau est l’élément originel, de l’apparition de la vie sur Terre à l’embryon dans la vie foetale.

Toute vie sort de l’eau

Dans notre corps, l’eau dispose d’une intelligence consciente, elle porte la mémoire de l’origine de notre humanité dans nos cellules, elle s’adapte à notre vibration et agit selon l’information donnée, nos émotions sont capables de modifier physiquement la molécule de l’eau, celle ci change en fonction de votre intention,vos pensées, vos paroles…

C’est à travers l’eau, que notre corps réagit aux informations qu’il reçoit de l’extérieur mais également à tout ce que nous ressentons émotionnellement

L’ eau nous invite donc à nous connaître, à accueillir et à accepter nos émotions afin que notre corps physique soit nourri. 

Elle est profondément liée à la purification et à la régénération.

Tout comme l'eau, nos émotions ont besoin de couler, de nous traverser. Le fait de garder nos émotions en nous, de ne pas les exprimer, de ne pas vouloir les voir ni en prendre conscience, apporte une stagnation de notre eau qui se transforme et se cristallise dans le corps.

Nos émotions nous parlent de nos besoins, elles sont là pour nous pousser à agir, à dire stop, ou à prendre soin de nous.

Il est important d’amener de la fluidité dans votre corps, dans votre vie, dans vos relations, à laisser partir ce qui vous encombre, ce qui n’a plus lieu d’être

L’eau est l’élément le plus répandu de notre terre. 70% de la surface de notre planète est couverte d’eau. 

 

Et elle agit exactement de la même façon sur la planète que celle de notre corps, l’eau de notre Terre 

Elle est informée et polluée par toutes nos pensées de non amour, de notre ignorance face à l’environnement,

Si nous manifestons de l’amour et de la gratitude pour l’eau, elle deviendra beaucoup plus belle et pure.

Lors de ce cercle de Pardon, nous allons nettoyer nos émotions, les toxines de l’âme, celles qui nous accaparentnous bouleversent et nous emprisonnent pour retrouver la fluidité de notre eau intérieur, la paix, la stabilité émotionnelle.

De part ce nettoyage émotionnel, notre reliance durant ce cercle avec l’océan aura un impact direct pour informer l’eau de la planète. Tout est relié

En prenant conscience de notre pouvoir d’influence sur nous même, nous pouvons choisir de créer et cultiver des vibrations et des émotions d’amour , entretenir des pensées bienveillantes pour influencer notre propre bien-être, mais aussi celui de notre environnement et de tout le vivant.

Créons cet évènement ensemble,

Une expérience enrichissante, transformatrice, libératrice.

Au plaisir de se rencontrer, se libérer, s'aimer

 

 

 

Evènement gratuit - Inscription nécessaire